Lexique

Dans cette rubrique, je note mes définitions de quelques termes que l’on retrouve dans le cadre de l’accompagnement spirituel. Ces définitions donnent également des éléments de réponse aux questions que l’on me pose.

Cliquez sur le terme et la définition apparaîtra.

Être avec une personne pour avancer dans sa recherche d’une vie pleinement vécue, l’aider à se lever et à se mettre en marche.

Voir la rubrique « présentation » de ce site

Une personne (l’accompagnant spirituel), une parole, un événement, une circonstance, un « hasard »ou une syncronicité, tout ce qui peut faire avancer. L’aide arrive toujours, mais pas nécessairement là où on l’attend. Être attentif. Souvent on la remarque après coup.

Expérience personnelle pendant laquelle le corps est libéré de tout contrôle de la volonté et du mental et ainsi relié à la Source de ses pouvoirs de guérison. Le corps dénoue alors de lui-même ses tensions et ses blocages personnels ou transgénérationnels par des mouvements spontanés, physiques et émotionnels. Cette expérience de rencontre avec son moi profond s’achève par le jaillissement intérieur d’un fort sentiment d’apaisement et de joie.

L’expérience peut se révéler très intense et libératrice, et il est conseillé d’être accompagné par une personne formée.

Plus on en parle, plus on s’en éloigne !  Au-delà de toute définition, au-delà de nos projections et au-delà de nos conceptions ? En fait Il est l’Au-delà.

Parfois à l’arrière d’une Présence ressentie, chez l’autre, dans la nature, au fond de soi ?

La Source de toute l’énergie, de l’amour inconditionnel, la Matrice du champ de tous les possibles, l’Origine de toute vie, dans toute chose, dans tous les vivants et au-dedans de chacun : la source en soi

Qui est en rapport avec la Source, avec l’amour inconditionnel.

Ce terme désigne la partie de l’esprit qui, à partir d’un souci, fabrique des scénarios – le plus souvent des scénarios inquiétants – et les alimente en tournant en rond. Dans les moments difficiles, cette activité s’impose à l’esprit et ne sert à rien : d’une part elle ne résout aucun problème et d’autre part elle éloigne la personne de la sensation du moment présent. Et de plus, l’expérience montre que, le plus souvent, les scénarios élaborés par le mental ne sont pas ceux qui se réalisent.

On sort de cette activité un peu « fofolle » du mental en fixant son attention sur les sensations apaisantes du moment présent. On prend conscience de ce que l’on voit, de ce que l’on entend, des odeurs, de sa respiration, des parties de son corps, … Se lancer dans l’action permet aussi de calmer l’activité mentale, particulièrement quand l’action laisse une certaine satisfaction.

Un certains nombre d’auteurs utilisent ce terme dans le contexte de la spiritualité ; ils veulent ainsi établir un lien entre les observations de la physique quantique et certains faits spirituels. Cette approche permet de dépasser l’antagonisme entre la science et la spiritualité (et elle permet aussi de se libérer des dogmes du mécanisme classique). Elle satisfait aux besoins qu’on a de donner une légitimité scientifique aux conceptions holistiques du réel que l’on trouve dans les traditions religieuses et les cultures traditionnelles : mais ces dernières n’ont pas attendu les observations quantiques de la non-localisation,  de l’intrication, etc pour comprendre que l’univers est un tout indivisible et qu’un changement dans une partie a un influence sur l’ensemble.

On parle aussi de « saut quantique » pour désigner un changement brusque dans la vie spirituelle ou émotionnelle d’une personne. Le saut quantique se rapproche alors de ce qu’on appelait « illumination » ou « conversion ». Le changement va toujours dans le sens positif et s’accompagne d’une forte émotion positive.

Dans l’accompagnement proposé, on tirera profit de cette approche dite quantique de la réalité pour avancer sur les chemins de la transformation.

Les croyances et les pratiques que les humains, dans leurs cultures, rencontrent pour se relier au divin.

Pour mon accompagnement, je m’inspire notamment des évangiles chrétiens : je les lis non pas comme un recueil de lois qui imposent  des comportements, mais comme un atlas de chemins menant vers la vie pleinement vécue.

Tous les courants religieux possèdent quelques trésors qu’il est bon de rencontrer pour avancer. Un critère permet de distinguer ce qui est  bon et ce qui doit être rejeté dans un courant religieux : tout ce qui favorise la relation aimante et respectueuse entre les personnes, entre l’humain et le monde, la nature, est bénéfique (amour) ; tout ce qui divise, sème la confusion, fait obstacle au lien est à rejeter.

Ainsi un athée aimant, tolérant, est plus divin qu’un prétendu croyant enfermé dans une foi jugeante,  discriminante et clivante.

Pour l’être humain : retour à une vie pleinement et intensément vécue. L’accompagnement que je propose va favoriser la réalisation de votre désir d’avancer vers une vie quotidienne riche et satisfaisante.

Chacun-e porte en lui ou en elle une source de régénération dont les eaux abondantes n’attendent que de pouvoir être libérées.

En spiritualité, ce terme désigne une réalité qui ne se laisse pas enfermer, emprisonner dans une définition trop précise.

Le Souffle, c’est l’énergie de la vie, la force vitale. Il est en chaque être humain, en chaque être vivant, en chaque chaque chose. Il réunit tout ce qui existe dans une grande unité.  On pourait dire qu’il est la manifestation du divin.

On trouve dans toute les traditions un terme qui désigne cette réalité mystérieuse : c’est le Pneuma des grecs anciens, le Ki japonais, le Chi chinois, le Prana de l’hindouisme ; on le retrouve aussi dans la culture indienne d’Amérique du Nord : chez les Sioux c’est Wakan Tanka : le Grand Esprit ou le Grand Mystère.

Pour la tradition chrétienne, il y a à l’origine du Souffle une personne – que Jésus appelait « Abba » : Père.

En accompagnement spirituel, on sait qu’on peut compter sur cette énergie pour avancer !

La dimension non matérialiste de la vie, de la réalité.

Tout ce qui concerne la vie et la Source de la vie, aussi bien la vie de l’esprit que celle du corps : l’esprit humain se matérialise dans le corps. Tout est unifié.

« La vie spirituelle, c’est l’expérience de l’amour, de la beauté, de ce qui est grand et juste. N’en faisons pas quelque chose de spécial » (Le Nuage de l’Inconnaissance, Albin Michel, p.128)

La spiritualité concerne le lien qui unit la vie intérieure de l’être humain et l’ensemble de tout ce qui existe. On sait maintenant que la conscience, le soi profond, a une influence sur la réalité par la force des émotions.